Toujours en raison de la marée, nous appareillons tôt après un embarquement délicat : des pirogues viennent nous chercher avec nos bagages pour effectuer le transbordement à bord du bateau à moteur car ce dernier ne peut s'approcher de la côte.
Nous naviguons vers le sud pendant environ six heures : en chemin nous croisons plusieurs boutres qui assurent l'essentiel du commerce le long de la côte ainsi que des pirogues de pêcheurs vezo. Les mouvements de roulis du bateau sont surmontés avec plus ou moins de bonheur par toute l'équipe.
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C'est donc avec soulagement que nous arrivons à 15 heures à notre escale : le port de Morombe.
Au coucher du soleil, de nombreuses pirogues à balancier reviennent de la pêche nous gratifiant d'un merveilleux tableau coloré et animé.
À terre, les femmes vendent le produit de la pêche : poulpes et petits poissons.
Nous marchons jusqu'à notre hôtel le Baobab qui a dû connaître des jours meilleurs : les cases en dur en sont quelque peu défraîchies mais l'eau sanitaire solaire est très chaude. Il suffirait d'un peu d'investissement pour le rendre beaucoup plus avenant, mais pour le moment les pistes qui permettent d'accéder à Morombe sont encore difficiles pour un réel essor du tourisme.
Derniers commentaires
07.11 | 15:48
Bonjour en 2017 vous avez écris:Mary Franklin (1842-1928), peintre née....qui a passé une vingtaine d'années en France, a connu l'arrière grand père et le grand père d'Hubert..notre musée cherche info
12.07 | 20:25
Merveilleux reportage et travail de titan ! Et donc merci a notre valeureuse Marianne pour ce morceau de bravoure🤗
12.07 | 20:03
C'est le site de Yeha... 😊