Marseille-Canton 1/08/

Dimanche soir, 21 heures, nous sommes dans un exotique lodge au sud d’Hanoi. De délicieuses odeurs du repas qui se prépare nous parviennent de la cuisine ou trois vietnamiens s’affairent et je profite de ce moment pour entamer mon journal.

Un plongeon dans la piscine a fini de nous remettre de nos mésaventures de début de voyage. Car bien sûr, comme pour tout voyage digne de ce nom, nous avons connu quelques déboires de mise en route.

Un premier vol Marseille-Paris, sans problèmes, puis le second vol Paris -Canton (Guangzhou) en classe Eco+ (c’est à dire légèrement surclassé ce qui est appréciable) dans un avion de la Compagnie China Southwestern nous rendent plutôt optimistes. Ce n’est que quelques jours auparavant que nous avions été avisés par Nomade que nous transiterions par cette ville et non par Taiwan (Taipeh) et que nous disposerions d’une journée complète pour visiter la ville à l’aide d’un guide local.

Le tout nouvel aéroport de Canton nous voit donc débarquer à 6 heures du matin et nous finissons par dénicher notre guide local.

Canton compte aujourd’hui près de dix millions d’habitants et tente de rivaliser avec Shanghai et Hongkong en dynamisme et en constructions.

De Canton à Hanoi

Nous visitons successivement la maison traditionnelle d’un riche mandarin, le mausolée salle de spectacle de Sun Yat Sen la tombe du roi de Nanyue datant de deux mille ans, et jetons un œil sur un marché traditionnel de pharmacopée chinoise (reptiles, pattes de coq et scorpions séchés) le tout entrecoupé par un repas autour d’une table ronde et par quelques siestes bercées par le flot incessant des paroles de notre guide francophone.

De retour à l’aéroport (tout neuf et superbe) nous avons la désagréable surprise de constater que nos bagages ont tourné toute la journée sur un tapis roulant et qu’il nous faut les récupérer pour les enregistrer à nouveau. Autre mauvaise surprise pour deux de nos compagnons de voyage, Nomade, qui en avait normalement la charge, ne leur a pas procuré leur visa pour le VietNam , ni la seconde entrée nécessaire pour la Chine. `

Nous embarquons avec près de deux heures de retard pour Hanoi en effectif déjà allégé de deux personnes et nous constatons avec déplaisir que personne ne nous attend à l’arrivée ! Après de longues tergiversations et coups de fil aux différents pseudo correspondants censés pourvoir régler le problème, nous négocions avec un taxi qui nous amène sur le coup de deux heures du matin dans un hôtel du centre-ville : le Pacific Prince Hôtel.

de jolies sculptures dans un parc

moins classique, mais il fallait oser

fagots de scorpions et autres délicatesses

Derniers commentaires

07.11 | 15:48

Bonjour en 2017 vous avez écris:Mary Franklin (1842-1928), peintre née....qui a passé une vingtaine d'années en France, a connu l'arrière grand père et le grand père d'Hubert..notre musée cherche info

12.07 | 20:25

Merveilleux reportage et travail de titan ! Et donc merci a notre valeureuse Marianne pour ce morceau de bravoure🤗

12.07 | 20:03

C'est le site de Yeha... 😊