La randonnée nous mène au sommet de la montagne des Pattes de coq (Jizu shan) ainsi nommé en raison de la configuration de la montagne qui forme trois barres à l’avant et une barre à l’arrière dessinant une gigantesque patte de coq
Bon, c’est sûr que si l’on ne le voit pas d’avion c’est difficilement compréhensible. Comme dans toutes les montagnes sacrées que nous avons eu le plaisir de gravir, celle ci est dotée d’excellents chemins pavés et d’escaliers qui nous mènent en trois bonnes heures à 3 240 mètres d’altitude. Hélas le sommet ne nous récompense pas de l’effort fourni car tout est noyé dans les nuages.
Grand centre bouddhiste et taoïste, la montagne Jizu compte quelques 300 monastères, temples et pagodons qui ont hébergé jusqu’à 3 000 bonzes mais a subi ensuite les foudres de la révolution culturelle et donc une certaine désaffection.
Nous mangeons un morceau dans une des gargottes en espérant que le soleil fasse une apparition mais en fait c’est la pluie qui se déclare.
La descente s’effectue d’abord en télécabine puis à pied.
Le soir nous fêtons l’anniversaire d’Hubert autour d’un superbe gâteau déniché par Timothée dans une pâtisserie : un dragon du plus bel orange, repose sur un fond de couleur vert flashy . Le tout est du plus bel effet et entièrement fait main à la chantilly d’après Tim qui a assisté à la confection de l’œuvre. Mais contrairement à ce que l’on pourrait craindre c’est tout à fait mangeable car la génoise est très légère.
Derniers commentaires
07.11 | 15:48
Bonjour en 2017 vous avez écris:Mary Franklin (1842-1928), peintre née....qui a passé une vingtaine d'années en France, a connu l'arrière grand père et le grand père d'Hubert..notre musée cherche info
12.07 | 20:25
Merveilleux reportage et travail de titan ! Et donc merci a notre valeureuse Marianne pour ce morceau de bravoure🤗
12.07 | 20:03
C'est le site de Yeha... 😊