paysage bucolique et humide

Après un petit déjeuner pris dans l'immense salle de l'hôtel pour curistes ou nous avons dormi, nous reprenons la route sous une pluie battante et des perspectives peu encourageantes pour la journée.

A Lengries nous effectuons un rapide tour de ville et nous réconfortons avec un chocolat chaud. Nous avons mis une heure pour effectuer les dix kilomètres de bonne piste en terre à travers un paysage de bois et de lande; le parcours est très joli à défaut d'être très agréable.

Puis nous continuons jusqu'au lac artificiel Sylvenstein que nous contournons par le nord, c'est à dire en empruntant la route car le descriptif de la piste cyclable nous a un peu découragé. En outre, il est près de 13 heures nous sommes bien humides et avons hâte de nous arrêter et de nous réchauffer.

Arrivée en Autriche

La frontière se situe à l'Achenpass et après une courte montée, nous retrouvons la piste cyclable Münich-Venise que notre option via Bad Tölz nous avait fait délaisser.

A Achenbach, station hivernale nous trouvons à nous restaurer dans une belle auberge ou nous dégustons bien sûr des .....Pfifferlingen aux nouilles, plat vivement recommandé par nos voisins de table. Ces derniers sont une famille münichoise qui est partie la veille et prend la même direction que nous mais nous comprenons rapidement que les deux enfants (grands ados), le père et la mère (cette dernière en VAE) parcourent deux étapes là ou nous n'en effectuons qu'une. Mais je ne pense pas qu'ils consacrent beaucoup de temps aux visites et ils sont en autonomie (c'est à dire qu'ils disposent de leur matériel de couchage).

Terres catholiques

L'église de est consacrée à Notburga, sainte que j'imagine dédiée aux cas d'urgence (en allemand Not signifie la nécessité). Devant son autel baroque, quatre jeunes garçons sont en train de répéter une ligurgie sans doute en vue de leur prochaine confirmation.

Puis nous entamons la raide descente sur Jembach qui nous fait passer de 950 mètres à 560 mètres d'altitude par un chemin gravillonneux et sinueux que nous empruntons avec prudence. Du reste, ce même chemin semble servir de piste de luge en hiver.

L'hôtel Jembach Hof est un hôtel de bonne taille, très confortable et à la décoration particulière mais nous apprécions la literie confortable et la douche brûlante.

Puis nous effectuons une visite complète de cette ville industrieuse à la recherche d'un lieu de restauration avant d'atterrir dans une sorte de pizzeria. En fait, notre hôtel faisait sans doute restaurant mais nous n'y avions pas pris garde. En tout cas, Jembach ne vaut pas le détour touristique.

Nous avons effectué environ 65 kilomètres mais sur un dénivelé un peu plus important que la veille.

Derniers commentaires

07.11 | 15:48

Bonjour en 2017 vous avez écris:Mary Franklin (1842-1928), peintre née....qui a passé une vingtaine d'années en France, a connu l'arrière grand père et le grand père d'Hubert..notre musée cherche info

12.07 | 20:25

Merveilleux reportage et travail de titan ! Et donc merci a notre valeureuse Marianne pour ce morceau de bravoure🤗

12.07 | 20:03

C'est le site de Yeha... 😊