Les prévisions météorologiques consultées les jours précédents notre départ en vélo ne sont guère optimistes et même franchement déprimantes : orages et pluies sont attendus pour la semaine à venir ce qui doit réjouir tout le monde vu l'état de sècheresse régnant sur l'Europe mais qui ne nous enchante guère en tant que cyclotouriste.
Le trajet en voiture depuis Labenne Océan où nous venons de passer une quinzaine de jours ne prend que trois petites heures, après un détour par la vallée de l'Asteasu et Alkiza où nous pique-niquons sur la place du village, mais à l'arrivée le ciel est en effet grisâtre. Après avoir débarqué nos bagages à l'hôtel Oria, nous partons faire un tour en ville. Déserte ou désertée, on ne sait si on doit incriminer les congés d'été qui drainent les espagnols sur les côtes ou le phénomène de désertification des villes moyennes sur un schéma indentique à nos propres villes provinciales.
Un petit casco antiguo, quelques grandes avenues propres et bordées d'arbres, et tout autour des collines vertes qui enserrent la bourgade.
Nous finalisons nos bagages dans les sacoches en attendant la fin de l'averse et avant d'aller nous restaurer dans le bistrot de l'hôtel, hôtel qui a fort aimablement accepté de garder nos valises jusqu'à notre retour dans 7 jours.
Derniers commentaires
07.11 | 15:48
Bonjour en 2017 vous avez écris:Mary Franklin (1842-1928), peintre née....qui a passé une vingtaine d'années en France, a connu l'arrière grand père et le grand père d'Hubert..notre musée cherche info
12.07 | 20:25
Merveilleux reportage et travail de titan ! Et donc merci a notre valeureuse Marianne pour ce morceau de bravoure🤗
12.07 | 20:03
C'est le site de Yeha... 😊